Considérons Gérard Oberlinger comme un ressucité, un miraculé sorti
des décombres d'un énorme effondrement ou d'un gouffre sans fond inopinément surgi sous ses pieds. Il s'en est extrait seul, avec la peinture, en tissant lui-même, comme un filet salvateur, une grammaire et un vocabulaire plastique inédits et nés de l'urgence même de la situation.
Pierre Souchaud - Artension N°28
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